Les gens heureux lisent et boivent du café

RÉSUMÉ DU LIVRE « Les gens heureux lisent et boivent du café » DE Agnès martin-lugand

Auteur du livre « Les gens heureux lisent et boivent du café » => Agnès Martin-Lugand

Date de parution : 6 juin 2013

« Ils étaient partis en chahutant dans l’escalier. J’avais appris qu’ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m’étais dit qu’ils étaient morts en riant. Je m’étais dit que j’aurais voulu être avec eux. »
Diane perd brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l’exception de son cœur, qui continue de battre.
Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l’existence.
C’est peut-être en foulant la terre d’Irlande, où elle s’exile, qu’elle apercevra la lumière au bout du tunnel. »

MON AVIS

J’ai découvert cette auteure tardivement mais alors quel coup de cœur ! Je ne pensais pas un jour ressentir une telle émotion en lisant un roman. C’est une lecture rapide qui fait moins de 200 pages. Me concernant je l’ai lu en l’espace de quelques heures, j’ai eu l’impression de voir défiler un film devant mes yeux. Il est impossible de décrire ce livre en quelques mots tellement il est beau, émouvant et incroyablement humain.

Le début de l’histoire démarre rapidement, Diane le personnage principal va perdre deux êtres chers. Elle va sombrer dans le déni et la dépression. Puis elle va doucement remonter la pente en se rendant en Irlande où elle va faire de très belles rencontres. Je n’en dis pas plus, et je vous encourage vivement à le lire, on ne s’ennuie pas et on s’attache très vite aux personnages. Cependant la fin est inattendue, j’ai été assez surprise. Maintenant j’ai hâte de lire la suite du livre avec « La vie est facile ne t’inquiète pas ».

EXTRAIT DU LIVRE « Les gens heureux lisent et boivent du café » DE Agnès martin-lugand

« Retour à la case départ. Rien n’avait changé ; les citadins pressés, la circulation infernale, l’agitation des commerces. J’avais oublié à quel point les Parisiens faisaient la gueule en permanence. Un stage de chaleur humaine irlandaise devrait être obligatoire au programme scolaire. Je pensais ça, mais je savais pertinemment que, dans moins de deux jours, j’aurais le même visage blafard et peu avenant qu’eux. »

Retrouvez « Les gens heureux lisent et boivent du café » de Agnès Martin-Lugand  sur le site de la Fnac

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